Définitions : qu’est-ce que – Dictionnaire de français Larousse Interroge sur les choses, en fonction d’objet direct. Côté de l’horizon où le soleil se lève ; l’un des. Situé du côté de l’orient. S’emploie en tête de phrase lorsque la question appelle une.
- Introduit une explication, une restriction ou une rectification.
- De la République démocratique allemande.
- Direction de la rose des vents, intermédiaire entre le nord-est.
- Direction de la rose des vents, intermédiaire entre l’est et.
- Locution latine empruntée à l’anglais et signifiant c’est-à-dire.
- N’est-ce pas, n’est-ce pas que.
Point de l’horizon situé entre le nord et l’est. Situé du côté du nord-est. Direction intermédiaire entre le nord et le nord-est. Dans les interrogations directes et (familier) indirectes, interroge sur les. Dans les interrogatives directes ou indirectes (familier), interroge sur.
Qu’est-ce ou Qu’est-ce que c’est ?
Comment écrire qu’est-ce que ? – Écrit-on cette formule avec un trait d’union ou non ? Qu’est-ce que est une expression qui sert à poser une question. Elle s’écrit toujours avec un trait d’union dans est-ce, Dans qu’est-ce que, on trouve le verbe être conjugué à la troisième personne du singulier, son sujet est ce,
Qu’est-ce que et ce que ?
Qu’est-ce que est la tournure servant à introduire une question posée directement. La phrase se termine alors par un point d’interrogation. Qu’est-ce qu’il attend de cette rencontre? Qu’est-ce vous voulez boire?
Comment on écrit Qu’est-ce que c’est ?
Qu’est-ce que c’est.
Qu’est-ce qu’il ou qui ?
Dans les tournures impersonnelles – On peut avoir le choix entre qui et qu’il quand le verbe de la proposition subordonnée est un verbe pouvant s’utiliser en, Je ne comprends pas ce qui leur arrive (ou ce qu’il leur arrive ). Dans l’exemple ci-dessus, la première possibilité équivaut à la proposition cela leur arrive, la seconde équivaut à il leur arrive cela,
- Lorsqu’il s’agit d’un verbe qui ne s’emploie qu’en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu’il,
- C’est ce qu’il faut écrire (et non ce qui faut écrire ).
- Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c’est la forme qu’il que l’on utilise.
- Sais-tu qu’il leur est arrivé une curieuse aventure ? (et non pas qui leur est arrivé une curieuse aventure qui équivaudrait à cela leur est arrivé une curieuse aventure ).
: Grammaire française : orthographe, syntaxe, participe passé, accord du verbe, ponctuation, conjugaison.
C’est quoi on ?
ON, pron. pers. indéf. – Pronom personnel de troisième personne, exprimant l’idée d’animé humain et fonctionnant toujours comme sujet.I. − A. − On a souvent besoin d’un plus petit que soi. On peut éclaircir l’histoire, on ne la renouvelle pas ( Bainville, Hist.
Fr., t.1, 1924, p.6). On n’épuise pas le malheur, mon amour, on l’oublie. Vous ne voulez pas l’oublier ( Bernanos, Dialog. ombres, 1928, p.47). Quand on vit seul, on ne sait même plus ce que c’est que raconter: le vraisemblable disparaît en même temps que les amis ( Sartre, Nausée, 1938, p.21).B. − 1.
a) On le revoit toujours avec plaisir. Si l’on m’insulte, je mets mon homme à bas, personne ne tire aussi bien le pistolet et l’épée que votre serviteur. On le sait! ( Balzac, Gobseck, 1830, p.419). b) On lui reconnaît volontiers de grandes qualités. Sans compter que tous ces salauds-là, on leur donne un doigt et ils vous bouffent la tête ( Camus, Révolte Asturies, 1936, i, 2, p.405): 1.
- Pitthée, Égée, étaient beaucoup plus intelligents que moi; comme l’est également Pirithoüs.
- Mais l’ on me reconnaît du bon sens; le reste vient ensuite, avec la volonté, qui ne m’a jamais quitté, de bien faire.
- Gide, Thésée, 1946, p.1418.2.
- A) Il y a de l’humilité dans la plupart des femmes; bien peu imaginent qu’on les puisse aimer jusque-là ( Mauriac, Journal 1, 1934, p.10).
b) On a beau partir plus tard de Manosque les jours où les pratiques font passer l’heure, quand on arrive à Vachères, c’est toujours midi ( Giono, Regain, 1930, p.9): 2. L’ on respire un instant dans ces belles clairières couvertes; mais sitôt qu’ on en sort, on est tout empêtré dans l’enchevêtrement confus des ramures; on se courbe, on se glisse à genoux, on rampe; au bout d’un quart d’heure de reptation on a complètement perdu le sens de la direction.
- Gide, Retour Tchad, 1928, p.870.
- C) À mon âge, on ne croit plus guère aux capricieuses ni aux folles, et l’étourderie, voyez-vous, est trop souvent la comédie qu’on se joue à soi-même, lorsqu’on doute des forces de son coeur ( Bernanos, Dialog.
- Ombres, 1928 p.41).
- D) Comment! Tu t’es rasé? On se rase maintenant pour aller à la guerre? Tu comptes paraître plus redoutable, avec ta peau poncée? ( Giraudoux, Amphitr.38, 1929, i, 3, p.32).C.
− 1. Françoise qu’il aimait, du reste, malgré cela, comme on peut aimer la personne qu’on est content de faire rager tous les jours en la battant aux dominos ( Proust, Temps retr., 1922, p.843).2. Comment montrer de la défiance vis-à-vis d’un charmant garçon dont on est devenu l’ami? ( Zola, Argent, 1891, p.93).
Et si on leur annonçait un résultat, ils faisaient mine de s’y intéresser, mais ils l’accueillaient en fait avec cette indifférence distraite qu’on imagine aux combattants des grandes guerres, épuisés de travaux ( Camus, Peste, 1947, p.1372).D. − Nous finirons par avoir la guerre. On finit toujours par avoir la guerre ( Duhamel, Maîtres, 1937, p.12).
Je ne comprends pas que l’on puisse aimer le merlan ( Duhamel, Maîtres, 1937 p.19): 3. L’ on n’a pas idée de se refuser une promenade, une fête, une rencontre avec un ami, une soirée avec une femme, c’est-à-dire d’appauvrir sa journée, sous prétexte qu’ on doit absolument se raconter à soi-même sa journée.
(Même simplement se priver d’aller se coucher quand on a bien sommeil, pour la raison qu’ on n’est pas en règle avec son pensum quotidien). Romains, Hommes bonne vol., 1939, p.5.1. − un «je». Et puis, elle souffrait beaucoup par ses relations avec ses fils; et elle disait: on les a soignés, entourés, quand ils étaient tout petits, et puis plus tard ils ne peuvent pas écrire à leur mère, parce que cela ne serait pas convenable pour le père ( Barrès, Cahiers, t.3, 1902, p.10).
− un «nous». C’est dommage, qu’on ne puisse pas avoir le gaz ici: nous sommes trop loin de Saint-Pierre ( Daniel – Rops, Mort, 1934, p.23). − un «tu» ou un «vous». C’est drôle que tu ne peux pas trouver ça toute seule! On fait un petit effort ( Lavedan, Beaux dimanches, 1898, p.9 ds Sandf.t.1 1965, §222).
Violaine: Tout beau, maître Pierre! Est-ce ainsi qu’on décampe de la maison comme un voleur sans saluer honnêtement les dames? ( Claudel, Annonce, 1912, p.12). − une 3 e pers. déterminée. Voici sept ou huit fois que je vous envoie chez mon avoué, depuis quinze jours, et il n’est pas venu? Croyez-vous que l’on puisse se jouer de moi? ( Balzac, Gobseck, 1830, p.431).2.
On dirait que. À moins de perdre la foi −et que lui reste-t-il alors, puisqu’il ne peut la perdre sans se renier? −un prêtre ne saurait avoir de ses propres intérêts la claire vision, si directe −on voudrait dire si ingénue, si naïve −des enfants du siècle ( Bernanos, Journal curé camp., 1936, p.1034).
- Si vous lisiez les lettres qu’il m’envoie! On croirait qu’il parle à un domestique ( Camus, Possédés, 1959, 1 re part., 1 er tabl., p.932).E.
- Complètement dénudés par la dernière tempête, tous les arbres qu’on voyait de la fenêtre se projetaient contre ces nuages dans l’immobile minutie d’une photographie ( Malègue, Augustin, t.2, 1933, p.382).
On rencontre aujourd’hui, en Espagne, jusque dans ses sentiers, des paysans qui s’acheminent vers leur lopin de terre, montés sur leur mécanique à deux roues ( T’Serstevens, Itinér. esp., 1963, p.9 ).F. − On ne peut mieux; on ne sait où, on ne sait d’où; on ne sait pourquoi; sait-on jamais? comme on dit.
Un jour, par hasard, il portait de l’or; un double napoléon se fit jour, on ne sait comment, à travers son gousset ( Balzac, Gobseck, 1830, p.385). D’un geste large, le bras tendu, avec une sorte d’air noble qui évoquait un acteur de province, il offrit à Mélanie le journal déplié et froissé, taché par ses doigts toujours poisseux d’on ne sait quoi, et toujours sales ( Montherl., Célibataires, 1934, p.739).
Les fromages les plus frais ne sont pas nécessairement les plus naïfs. Il y en a qui sont, dès l’égouttoir, dès le lait, si l’on peut dire, touchés, hantés par une effervescence démoniaque ( Duhamel, Cécile, 1938, p.19). ♦ On ne peut plus. Tout à fait, extrêmement.
Il (.) se déclare on ne peut plus sensible au charme de certains amis catholiques, mais il sait leur résister quand cela devient nécessaire ( Green, Journal, 1929, p.13). Vous voyez, Mesdames et Messieurs, que tout ceci est on ne peut plus moderne! ( Montherl., Pasiphaé, av.-pr., 1938, p.106). II.
− A. − On frappe; on pose un triangle ABC.1. a) On est prié de ne pas fumer = prière de ne pas fumer. b) On le traite d’infâme = il est traité d’infâme. Rem. L’emploi de on permet de marquer explicitement, à la différence des constr. passives, que l’information du prédicat reste identique à elle-même, quel que soit l’agent; l’action verbale se rapprochant d’une «action pure» indépendante des particularités du sujet.
♦ Avec un verbe en empl. abs. Il prit la place du pompier tombé dans le brasier. Du sommet de l’échelle, il se retourna; on ne tirait pas; il ne voyait aucun lieu d’où l’on pût tirer ( Malraux, Espoir, 1937, p.768): 4. En dernière analyse, la noblesse est un luxe qu’une société ne peut se payer que tard.
−Mais le plus tôt est le mieux, dit Mercery, définitif. −Demain, on rasera pour rien, reprit le Négus. Pas d’histoires. Les partis sont faits pour les hommes, pas les hommes pour les partis. Malraux, Espoir, 1937 p.604. ♦ Avec une nuance iron. Un grand rassemblement se tenait devant l’église.
On mariait là dedans ( Maupass., Sur l’eau, 1888, p.308). ♦ Avec un verbe intrans. ou trans. indir. Des coups de cloche la réveillèrent ; on sortait des vêpres ( Flaub., Coeur simple, 1877, p.45). Le jeune architecte me pria un soir à dîner. On était en mai. La température était délicieuse ( Billy, Introïbo, 1939, p.8): 5.
La cité Monthiers se trouve prise entre la rue d’Amsterdam et la rue de Clichy. On y pénètre, rue de Clichy, par une grille, et rue d’Amsterdam par une porte cochère toujours ouverte et une voûte d’immeubles dont la cour forme cette cité, une véritable cour oblongue, où de petits hôtels particuliers se dissimulent au bas des hautes murailles plates du pâté de maisons.
- Cocteau, Enfants, 1929, p.7.
- ♦ Avec un verbe pronom.
- On s’est souvent demandé ce qui serait arrivé si le duc de Bourgogne, l’élève de Fénelon, avait succédé à Louis XIV ( Bainville, Hist.
- Fr., t.2, 1924, p.5).2.
- De cet étage, on voit le tombeau de son père ( Giraudoux, Électre, 1937, i, 1, p.16).
♦ Loc. exclam. On aura tout vu! Panisse: Nous sommes du jury. Nous attendons le président, M. Gadagne, qui va venir nous chercher. César, avec pitié: Du jury!! On aura tout vu! ( Pagnol, Fanny, 1932, i, 1 er tabl., 1, p.9). − Une maladie lente, mal déterminée, et qu’on pensa lui avoir été transmise par sa femme ( Martin du G., Thib., Pénitenc.
, 1922, p.751). − ♦ Avant que le rideau se lève, on entend une sorte d’appel déchirant. Une voix d’homme, aiguë, qui crie: «Judith! Judith!» ( Giraudoux, Judith, 1931, i, 1, p.11). On entend, au dehors, des milliers de coups de marteaux sur des coques de navires, les vieux navires en démolition. On entend ferrailler la chaîne des grues.
On entend des coups de sifflets lointains ( Pagnol, Marius, 1931, i, 1, p.10). ♦ : 6. La sauce peut être servie froide: on additionne alors le court-bouillon de gélatine, afin d’obtenir une gelée limpide dans laquelle on introduit la julienne préalablement cuite à l’eau bouillante.
On ajoute câpres, piments et cornichons avant de napper le poisson, refroidi dans son court-bouillon. Ac. Gastr.1962, p.414. ♦ On peut toutefois toucher une pièce sans être obligé de la jouer (par exemple pour la remettre sur l’échiquier si elle est tombée) ( Jeux et sports, 1967, p.893). ♦ J’appelle armes ses deux paires de «verres», un couteau de poche, souvent une brosse à habits, un sécateur, de vieux gants, parfois le sceptre d’osier, épanoui en raquette trilobée, qu’on nomme «tapette» et qui sert à fouetter les rideaux et les meubles ( Colette, Sido, 1929, p.17).
Ce que je peux dire seulement c’est que, ni dans l’un ni dans l’autre cas, il n’y a rien eu de ce qu’on appelle à l’ordinaire un événement ( Sartre, Nausée, 1938, p.13). ♦ On considère le triangle dont les supports des côtés ont pour équations respectives: x = 2, y = 1, x + y = 1 ( Lespinard, Pernet, Gauzit, Math., Classe de sc.
- Exp., Lyon, A.
- Desvigne, 1952, p.116).B. − 1.
- Gabrielle: Sois tranquille! On ne le fera pas entrer dans mon boudoir ( Bernstein, Secret, 1913, i, 5, p.7).
- Regarde, dit-elle, fainéant! Pendant que tu étais occupé à dormir, on nous a volé notre maison ( Michaux, Plume, 1930, p.137): 7.
- Copeau me demande de l’accompagner chez les Bibesco; on doit le présenter à Chaumeix.
Je surmonte l’appréhension de cette affreuse corvée qu’est pour moi un dîner dans le monde et ressors de l’armoire l’habit de mon mariage qui n’a pas servi douze fois. Gide, Journal, 1910, p.290. Rem. Oppos. on/quelqu’un. Quelqu’un est le signe de l’indétermination du suj., on le signe de son indéfinition: «quelqu’un vous attend» signifie que j’ignore son identité ou que je ne veux pas la révéler.
«On vous attend» signifie que l’identité du sujet, ses particularités, n’ont aucune incidence sur l’action verbale. Peut-être s’agit-il de plusieurs personnes. Tout l’accent est mis sur le procès. − Mais dira-t-on; on objectera que. Qu’on me permette, pour faire saisir toute la rigueur de cette alternative, de développer ici une sorte de théorème fondamental ( Valéry, Variété, 1924, p.25).
Je touche ici à un point particulièrement délicat, mais que je crois d’une telle importance que l’on m’excusera si j’y insiste quelque peu ( Gide, Robert, 1930, p.1324).2. − Mariette, l’ombrelle et l’écharpe; on s’impatiente peut-être à la maison. Vous savez que Monsieur revient de bonne heure ( Baudel., Fanfarlo, 1847, p.533).
Pardon, Monsieur, voilà deux heures qu’on appelle de Zurich. Ils demandent une réponse ( Camus, Cas intéress., 1955, 1 er tabl., p.611). − C’était une douce et gentille et fidèle amie. Demain on l’enterre rue des Saules ( Céline, Mort à crédit, 1936, p.11). Elle se redressa avec courage, et, précédée de la concierge qui s’était emparée des valises, elle se dirigea vers l’ascenseur.
−«On a donc tout changé?» murmura-t-elle ( Martin du G., Thib., Été 14, 1936, p.640). − Cette tour d’ivoire où l’on dit qu’il se retirait, qu’était-ce, sinon son talent même, son esprit haut et solitaire? ( A. France, Vie littér., 1890, p.256). La vie est devenue bien difficile, dit-on, dans les provinces du centre ( Malraux, Cond.
- Hum., 1933, p.304): 8.
- Les bruits les plus fâcheux courent sur le compte de Zelten.
- Il est le grand homme des cafés, des coulisses, des piscines.
- On raconte qu’il a acheté la police et qu’hier soir même, tous les agents étaient convoqués chez lui.
- Giraudoux, Siegfried, 1928, I, 1, p.13. Rem.1.
- Les emplois sont à rapprocher des formes subst.
on-dit, qu’en dira-t-on,2. À la limite, on peut désigner aussi «tous les hommes» ou «les hommes d’une certaine époque». Dans ce cas, nous peut servir de régime à on. On réclame d’abord le bonheur à la vie. Elle nous le doit ( Chardonne, Épithal., 1921, p.242).3.
- Dans une phrase nég., on se rapproche du pron. indéf.
- Personne; on marque l’indifférence quant à la nature particulière du suj., la nég.
- Portant uniquement sur le verbe.
- Depuis bien des années déjà.
- Le fils est parti et l’on ne sait plus où il est ( Claudel, Sagesse, 1939, 1 re part., p.1107). III. − A. − 1.
− Oui, c’est. −il se servit du mot scientifique −et avec cela, on a le cancer. j’ai le cancer. Oui, je l’ai. et maintenant gardez cela pour vous ( Goncourt, Journal, 1883, p.220). Amalric: Alors ne la faites pas. Croyez-moi! Je vous aime bien, Mesa.
- Oh! comme on l’aime, son petit Mesa! ( Claudel, Partage de midi, 1949, i, p.1067).
- Le travail dont on expose les résultats dans cet ouvrage a été compris par nous comme l’expérience d’une méthode grammaticale ( R.L.
- Wagner, Les Phrases hyp,, Paris, Droz, 1959, p.11): 9.
- À défaut de ce dialogue-là, qui serait sûrement le plus beau à entendre (le monde étant le résultat d’un dialogue éternel entre le père et le fils), on a essayé d’échantillonner ici quelques jeux, que chaque lecteur pourra continuer, dans ses nuits sans sommeil, au gré de son caprice.
Renan, Drames philos., 1888, préf., p.374. Rem. Une idée de généralité peut s’attacher à l’énoncé, bien que on désigne manifestement la 1 re pers. Je suis bien content de vous trouver; on ne vous dérange pas? ( Frei 1929, p.147).2. Et puis, on est bourgeois de Gand ( Hugo, Hernani, 1830, i, 3, p.25).
Ma belle mine fit le reste, car il faut bien dire qu’on sait se présenter ( A. Daudet, Nabab, 1877, p.187).3. Dans la lang. pop. On y va = j’y vais. Louis, à Clémence: Comment! vous n’êtes pas encore partie? Clémence: Allons, on s’en va ( Mérimée, Deux hérit., 1853, p.38). Virginie, voyant son succès, s’approcha de deux pas (.) criant plus fort: (.) qu’elle dise seulement ce que je lui ai fait.
Dis, rouchie, qu’est-ce qu’on t’a fait? ( Zola, Assommoir, 1877, p.395).B. − 1. On a été sage? Qu’est-ce qu’on dit à la dame? (S’adressant à des enfants). Elle caressait le cheval à l’encolure, à l’épaule avec la familiarité d’une affection de vieille date: «Mon bon Bauria, disait-elle.
- Mais oui, mais oui, on est beau.
- On a des yeux de biche.
- Seulement, on aime la liberté, on court les bois» ( M.
- Bedel, Molinoff, 1928, vii, p.67 ds Dam.
- Pich.t.6, §2344).
- L’Aubergiste: Entrez! et en attendant on prendrait p’t’être bien un petit coup de quéq’chose pour se rafraîchir? Premier Porteur: C’est pas de refus ( Claudel, Raviss.
Scapin, 1952, p.1315).2. Alors? On donne des coups de pied en vache comme une femme? ( Sartre, Mort ds âme, 1949, p.119 ): 10. Les amitiés sont absolument interdites entre élèves de divisions différentes. soubrier: N’empêche. Il y en a bien d’autres, et eux on ne leur dit rien.
l’abbé : Je n’ai pas à vous dire pour quelles raisons il nous arrive de fermer les yeux, pendant plus ou moins de temps, sur telle ou telle de ces amitiés. Montherl., Ville dont prince, 1951, I, 1, p.853. − En partic. Et qu’on ne passe pas son temps à avoir l’air de prendre les anars pour une bande de cinglés! disait le Négus ( Malraux, Espoir, 1937, p.605).
Je suis prêt à l’aimer de toutes mes forces, mais qu’il se fasse vite, ce mariage, et qu’on en arrête la date sans perdre une minute, car je suis à bout de patience et de résistance ( Aymé, Cléramb., 1950, i, 4, p.33).C. − 1. − Au sing. Et puis, tu me diras si l’on a eu du chagrin en apprenant mon départ.
- Si l’on a pleuré!.
- Qui ça, mon commandant? −Eh parbleu! elle! Anita ( Labiche, Voyage de M.
- Perrichon, 1860, i, p.7 ds Le Bidois, § 384): 11.
- Madame, dit le valet de chambre.
- Que dois-je faire ? −Vous feindrez d’aller chez l’avoué, et vous reviendrez dire à monsieur que son homme d’affaires est allé à quarante lieues d’ici pour un procès important.
Vous ajouterez qu’ on l’attend à la fin de la semaine prochaine. Balzac, Gobseck, 1830, p.431. − Au plur. Ç’avait été dans une maison discrète du quartier des Champs-Élysées, un après-midi. On s’était dit tout ce qu’on avait à se dire, et ce jour n’avait point eu de lendemain ( A.
France, Bergeret, 1901, p.140). ♦ Dans la lang. pop. Voilà qu’après dîner, tous ces messieurs on était là à fumer en rond autour de moi ( Frei 1929, p.147).2. porte des ongles sales. Tandis qu’il trottine à ses malades, elle reste à ravauder des chaussettes. Et on s’ennuie! ( Flaub., M me Bovary, t.1, 1857, p.149).
Rem. Il arrive, comme en fr. class., que plusieurs on renvoient à des pers. différentes. On verra qu’on n’a pas toujours résisté à cette double tentation. ( Langages. Paris, 1967, n o 7, p.3). IV. − Qu’est-ce qu’on fait cet après-midi? = Que faisons-nous cet après-midi? Nous partîmes pour la gendarmerie de Sceaux, où il devait me mettre aux mains des gendarmes.
- Mais en route, on causa ( Vallès, Réfract., 1865, p.61): 12.
- En passant à la grand’garde I, il cria: −Hé! Raoul! Vous êtes là? Ouste! On vous emmène.
- Le lieutenant Raoul sortit de son trou, en achevant de boucler la sacoche de son browning.
- Les trois hommes continuèrent vers les Rappes en bavardant.
- Romains, Hommes bonne vol., 1938, p.7.
Rem.J. Pohl ( Six esquisses ds Fr. mod.t.35 1967, n 1, pp.10-12) fait observer que on inclut généralement l’interlocuteur, alors que nous tend à l’exclure. On dit de préférence (deux couples se fixent, par téléphone, un rendez-vous en vue d’une excursion): «Nous vous préviendrons si nous passons par chez vous; éventuellement on pourrait se rencontrer devant votre maison» et non: «on vous préviendra si on passe par chez vous; éventuellement nous pourrions.».
- Rem. gén.1.
- Accord en genre et en nombre. Les adj.
- Et les part.
- Qui se rapportent à on s’accordent au masc. sing.
- Toutefois,,le pronom on, qui grammaticalement est du genre masculin, n’en souffre pas moins un adjectif prédicatif au féminin, lorsque la personne déterminée à laquelle il se rapporte, est du sexe féminin.
Cet accord sylleptique peut se faire également, quand on, tout en se rapportant uniquement à des femmes, a le sens d’un pronom indéfini“ ( Weerenbeck, Le Pron. on, en fr. et en prov., 1943, p.9). −Monsieur, quand on n’a pas le temps de rêver éveillée, on n’a pas davantage le temps de rêver endormie, Dieu merci! ( A.
France, Bonnard, 1881, p.272). C’est maintenant surtout, bien plus qu’au printemps lorsque ma mère mourut, que je réalise ce que c’est que vivre à Saint-Léonard (Loiret) avec un vieil oncle sourd et stupide, quand on est fille, pauvre, orpheline sans frère ni soeur, et qu’on va sur ses trente ans ( Montherl., J.
filles, 1936, p.921). De même, l’accord sylleptique peut entraîner exceptionnellement le plur. pour l’attribut ou l’appos. se rapportant à on. On était une trentaine, et assez serrés, car on n’ouvrait pas le petit salon, qui servait de chambre à ces demoiselles ( Zola, Pot-Bouille, 1882, p.49).
- On était désemparés.
- On avait faim, on avait soif et dans ce malheureux cantonnement, rien! ( Barbusse, Feu, 1916, p.206).2.
- Substituts de on.
- A) On peut être repris par se ou soi.
- Et, à ce moment-là, Séraphin s’étant tu également, on avait senti grandir autour de soi une chose tout à fait inhumaine et à la longue insupportable: le silence ( Ramuz, Derborence, 1934, p.14).
b) Par nous ou vous. Les livres, c’est comme les amis, on ne les choisit pas librement. Ils s’imposent à vous ( Daniel – Rops, Mort, 1934, p.386).3. On peut renvoyer à des choses ou à des abstractions personnifiées; mais il ne peut pas désigner Dieu. Et puis les menteuses, les effrontées, celles qui sonnent pour le dehors, pour la rue, pour faire croire qu’on est une maison considérable et qu’on occupe beaucoup de monde (A.
- Daudet, Fromont jeune, 1874, p.81).4.
- Répétitions de on.
- On peut être répété ou omis devant un verbe coord., dans les mêmes conditions que les autres pron. pers.5. Oppos. on/l’on.
- A) La lang.
- Châtiée use volontiers de la var. styl.
- L’on, surtout après et, où et si, plus rarement après ou, qui, quoi, pourquoi.
Et l’on dit qu’à Londres il y a une foule d’hommes et de femmes françaises sans place qui réunissent les talents que je cherche ( Staël, Lettres L. de Narbonne, 1792, p.87). Hector: Si l’on aime ce qui vous délivre de l’espoir, du bonheur, des êtres les plus chers ( Giraudoux, Guerre Troie, 1935, I, 3, p.21).
b) L’on est fréq. après que (surtout le que rel.), en partic. quand la syllabe initiale du mot suiv. est con- ou com-. Car on avait dans cette maison tellement peu de personnalité que l’on conservait en bonne place tous les objets qui vous avaient été offerts ( Montherl., Lépreuses, 1939, p.1372). c) En tête de phrase, l’on évite peut-être une attaque inhabituelle.
Camille, ouvrez, ouvrez, c’est moi. L’on ne vient pas ( Chénier, Élégies, 1794, p.72).6. On employé subst. Debout, dans sa chaire, pâle de rage, le pauvre On écoutait toutes ces injures, dévorait toutes ces humiliations et se gardait bien de répondre (A.
Daudet, Pt Chose, 1868, p.108). On me proposa un jour de me faire inviter aux soirées d’Augustine. −Qui, On? −On, parbleu! Vous le voyez d’ici: l’éternel on qui ressemble à tout le monde, l’homme aimable, providentiel (A. Daudet, Trente ans de Paris, 1888, p.47 ds Sandf.t.1, §219). Prononc. et Orth.:, Liaison de n devant voyelle et h non aspiré ( on a: ɔ ̃ na; on habite: ɔ ̃ nabit) d’où difficulté dans certains cas à distinguer (lang.
parlée) constr. positive et constr. négative ( si l’on ose/si l’on n’ose ). Att. ds Ac. dep.1694. Étymol. et Hist. Pron. de la pers. suj. indéterminée A.1. Employé sans art.842 ( Serments de Strasbourg ds Henry Chrestomathie, p.2, 5: Si salvarai eo cist meon fradre Karlo et in aiudha et in cadhuna cosa, si cum om per dreit son fradra salvar dift; cf.E.
Koschwitz, Commentar zu den ältesten franz. Denkmälern, p.41; Moignet, Gramm. de l’a. fr., p.146 note,peut encore s’interpréter comme un subst.“); ca 1050 ( St Alexis, éd. Chr. Storey, 235: Par nule guise ne l’em puet hom blasmer), ; ca 1100 ( Roland, éd.J. Bédier, 2949: En un carner cumandez qu’ hom les port); 2.
employé avec l’art. déf. ca 1050 disjoint, précède le verbe dont il est le suj. ( St Alexis, éd. Chr. Storey, 566: Sainz Boneface, que l’um martir apelet); 1119 conjoint, suit le verbe ( Philippe de Thaun, Comput, éd.E. Mall, 2612: E s’ele la lune est en esclem, Saciez, dunc pruvet l’em Qu’en cele lunaisun Avrum bele saisun).
Vestige de hom subst., cet emploi n’a plus cours que dans la langue littér. pour des raisons euphoniques, cf.1647, Vaug. :, on dit et l’on dit sont bons, mais on dit est meilleur au commencement de la période“, ainsi que la critique de cette remarque par A. Goosse ds Z. rom. Philol.t.75, 1959, pp.291-299.B.1.
On étymologiquement masc. est suivi d’un part. passé adj. masc. sing. ca 1179 ( Renart, éd.M. Roques, 1943:,puis que hom est antrepris Et par force lïez et pris, Bien puet savoir a cel besoing Qui l’aime et qui de lui ait soing); cf. l’attribut accordé en genre et en nombre avec la ou les personnes qu’il représente; 1643 on suivi d’un masc.
plur. ( Corneille, Polyeucte, I, 3: On n’a tous deux qu’un coeur qui sent mêmes traverses); 1659 on suivi d’un attribut fém. ( Molière, Précieuses, 9: Quelque spirituelle qu’ on puisse être); 2. xv e s. le verbe dont on est le suj. peut être au plur. ( Voyage d’Anglure, éd.F. Bonnardot et A. Longnon, § 168, var.
M :,aultre rue, par oult on vont. toute maniere de gent); 1426 ( Ballade d’un pélerin au retour de Terre Sainte ds Voyage d’Anglure, p.112, 14: Quant on sont a tauble essis).C. On employé stylistiquement pour représenter une ou plusieurs personnes déterminées 1.
Dans le discours direct, est substitué à un pron. pers. de la 2 e pers. pour exprimer la distance entre le locuteur et autrui 1198-1202 substitué à tu ( Jean Bodel, St Nicolas, éd.A. Henry, 256: Que vent on chaiens? ); 2. substitué à un pron. pers. de la 3 e pers.1253 ( Recueil gén. des jeux-partis éd.A. Långfors, XCIII, Sire Audefroy à J.
Bretel, 1: J’aim par amours et on moi ensement ); 3. substitué à un pron. de la 1 re pers. a) ca 1340 représente je ( Bastard de Bouillon, éd.R. Fr. Cook, 4760:,Biaus niés“, dist l’amulainne,,oies c’ on vous dira“); b) représente nous ; le verbe est au plur.
- Ca 1445 Rouen ( Farce joyeuse des galans et du monde ds Recueil gén.
- Des sotties, éd.E.
- Picot, II, 88: On ne debvons pas grand amende; v. ex.
- Analogues xvi e s.
- Normandie au gloss., s.v. on ; cf. Hug.). Du lat.
- Homo, cas suj. du subst.
- Signifiant «homme», développé en position proclitique, et qui, à basse époque, est relevé dans qq.
ex. comme suj. indéterm., emploi aboutissant à sa fonction de pron. indéf.: Peregr. Aether.13, 1: ubi homo desiderium suum compleri videt ; Diosc.4, 76: unde si homo gustaverit, solutionem ventris panditur; Vitae patrum, 7, 26, I: Quomodo potest se homo mortificare ; v.
Lat. Gramm., 2 e partie, Syntax und Stilistik, §107 f γ), p.198; Vään., §297; v. aussi TLL, s.v.2882, 58. Fréq. abs. littér.: 372142. Fréq. rel. littér.: xix e s.: a) 521010, b) 525720; xx e s.: a) 549941, b) 525669. Bbg. Benes (P.). Le Pron. on en fr. et ses équivalents en roum. Ét. rom. Brno.1965, n 1, pp.171-188.
Écriture scientifique d’un nombre | Mathématiques
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Qu’est-ce que c’est où s’est ?
Quand on écrit ‘s’est’ devant un verbe, on conjugue un verbe pronominal à un temps composé. ➡️ On peut alors remplacer s’ par me, te ou m’, t’. Exemple : Je me suis cogné, tu t’es cogné, l’enfant s’est cogné. ➡️ On écrit ‘c’est’, quand on peut le remplacer par ‘cela’.
Comment poser une question avec Est-ce que ?
Les questions fermées au registre courant – Cette question commence par ” est-ce que ” et se construit ainsi est-ce que + sujet + verbe + complément, ATTENTION Cette forme d’interrogation ne peut pas être employée avec de la négation.
- Est-ce que tu parles français ? ( Est-ce que tu ne parles pas français?)
- Est-ce que vous aimez faire du sport ?
- Est-ce que vous allez bien ?
Quand on utilise ce qui ou ce que ?
Les pronoms relatifs : ce qui, ce que, et ce dont. | Frantastique Améliorez votre niveau de grammaire et orthographe : plus besoin de correcteur orthographique avec Frantastique. Gratuit et sans engagement. On utilise ce qui, ce que ou ce dont pour exprimer la chose qui, la chose que, la chose dont,
- Elle ne comprend pas ce qui se passe (Elle ne comprend pas la chose qui se passe ).
- Tu ne sais pas ce que tu perds (Tu ne sais pas la chose que tu perds).
- Elle écoute ce dont je parle (Elle écoute la chose dont je parle).
- Ce qui est sujet du verbe qui suit.
- Ce qui est certain, c’est qu’on va bien s’amuser ! ( ce qui sujet de est certain ) Tu sais ce qui me ferait plaisir ? ( ce qui sujet de ferait plaisir ) Ce que ( ce qu’ ) est complément direct.
Il est généralement suivi d’un sujet et d’un verbe. Ce qu’ il demande, c’est du respect ! ( ce qu’ = complément direct de il demande ) Tu peux dire ce que tu veux, je ne t’écoute pas. ( ce que = complément direct de tu veux ) Ce dont s’emploie devant les verbes construits avec la préposition de ( avoir peur de, avoir besoin de, se douter de, parler de, etc,) Ce dont Victor a peur, ce sont les araignées.
- Victor a peur des araignées, on dit avoir peur de quelque chose ).
- Elle m’a confirmé ce dont je me doutais : Gérard Therrien a une maîtresse ! (se douter de ) Remarque : On utilise aussi ce qui / ce que.
- C’est pour insister ou mettre en avant une partie de la phrase.
- Ton sourire me plaît.
- Ce qui me plaît, c’est ton sourire.
A Paris, j’aime les musées. → À Paris, ce que j’aime, ce sont les musées. J’ai besoin d’un café fort.→ Ce dont j’ai besoin c’est un café fort. Pour ne plus faire de faute de grammaire sur «Les pronoms relatifs : ce qui, ce que, et ce dont.» et progresser en français à l’écrit comme à l’oral, découvrez Frantastique, nos cours d’orthographe et expression écrite ! Testez votre niveau gratuitement.
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Comment utiliser Est-ce que ?
Il est possible de poser deux types de questions : – les questions fermées (auxquelles on répond par « oui » ou « non ») – les questions ouvertes (pour lesquelles il y a beaucoup de réponses possibles). Avec est-ce que, on pose des questions fermées. Exemple : Est-ce que vous prenez du vin ? => La réponse est « oui » ou « non ». Avec qu’est-ce que, on pose des questions ouvertes. Exemple : Qu’est-ce que vous prenez comme boisson ? => Les réponses peuvent être « de l’eau », « du vin », « de la bière ».
Est-ce que tu où es ce que tu ?
On écrit « est-ce que » pour poser une question. La phrase se termine par un point d’interrogation. L’expression « est-ce que » relève du langage familier et est donc à employer plutôt à l’oral. Elle comporte toujours un trait d’union entre le verbe « est » et « ce ».
Comment on écrit Qu’est-ce que tu fais ?
(Pourquoi fais – tu cela?)
Quand Est-ce que on écrit c’est ?
On écrit « c’est » ou « s’est » ? – On écrit « c’est » avec un -c quand. : On écrit « c’est » lorsqu’on peut remplacer par « cela est », Il est alors suivi d’un groupe nominal, d’un pronom ou d’un adjectif qualificatif. Tout comme, « c’est » est utilisé pour montrer ou désigner quelque chose. Exemples :
C’est dommage que tu ne puisses pas venir à ma fête (cela est dommage.) Je suis sûr que c’est de ta faute (je suis sûr que cela est de ta faute) C’est bien ce que je pensais dès le début, il est parti hier (Cela est bien ce que je pensais.) C’est quitte ou double, à toi de choisir ! (cela est quitte ou double.)
On écrit « s’est » avec un -s quand. : On écrit « s’est » lorsque celui-ci est suivi d’un participe passé, Alors, « s’est » fait partie de la conjugaison d’un verbe pronominal. C’est tout simplement la troisième personne des verbes pronominaux (se taire, se lever, se bagarrer.).
Il s’est bagarré hier en sortant du bar (je me suis bagarré.) II s’est tu toute la journée (je me suis tu toute la journée.) Hier, mon voisin s’est trompé de maison en rentrant du travail (je me suis trompé de maison.) Mon ami s’est levé de sa place pour la laisser à une personne âgée (je me suis levé de ma place.)
Pour finir, révisons avec cette vidéo récapitulative du Projet Voltaire : J’espère que ces explications pour différencier « c’est » et « s’est » vous seront utiles. N’hésitez pas à lire nos autres articles pour améliorer votre, : « C’est » ou « s’est » ?
Quelle est la nature du mot Qu’est-ce que ?
Définitions : qu’est-ce que – Dictionnaire de français Larousse Interroge sur les choses, en fonction d’objet direct. Côté de l’horizon où le soleil se lève ; l’un des. Situé du côté de l’orient. S’emploie en tête de phrase lorsque la question appelle une.
Introduit une explication, une restriction ou une rectification. De la République démocratique allemande. Direction de la rose des vents, intermédiaire entre le nord-est. Direction de la rose des vents, intermédiaire entre l’est et. Locution latine empruntée à l’anglais et signifiant c’est-à-dire. N’est-ce pas, n’est-ce pas que.
Point de l’horizon situé entre le nord et l’est. Situé du côté du nord-est. Direction intermédiaire entre le nord et le nord-est. Dans les interrogations directes et (familier) indirectes, interroge sur les. Dans les interrogatives directes ou indirectes (familier), interroge sur.
Qu’est-ce qui arrive ou Qu’est-ce qu’il arrive ?
CE QUI ou CE QU’IL : emploi dans les phrases impersonnelles Avec les verbes toujours impersonnels, on utilisera la tournure ce qu’il ; avec les verbes rester, se passer, arriver, pouvoir, advenir, prendre, résulter, convenir, plaire et sembler bon, le choix entre ce qu’il et ce qui demande qu’on s’y attarde.
Qu’est-ce qui te plaît ou Qu’est-ce qu’il te plaît ?
Lorsque le verbe est suivi de son complément, on écrit plutôt ce qu’il : Jean demande ce qu’il plaît à Claire de faire (de faire est le complément de il lui plaît). Lorsque le verbe est employé seul, on écrit plutôt ce qui : Jean demande ce qui lui plaît.
Qu’est-ce Qu’on ou Qu’est-ce que l’on ?
Les formes « qu’on » et « que l’on » sont toutes les deux correctes.
Quand on peut utiliser on ?
« On » est un pronom personnel, c’est-à-dire qu’il est le sujet qui fait l’action du verbe. « On » se conjugue à la troisième personne du singulier, comme « il » ou « elle ».
Quand Est-ce que on utilise de la ?
La préposition de : Elle est suivie de la + nom féminin : Il vient de la campagne. Elle est suivie de l’ + nom masculin ou féminin: Il vient de l’école. Mais de + le n’existe pas car il se contracte en du + nom masculin : Il revient du travail.
Comment savoir si on écrit c’est où s’est ?
Réponses –
Faux. Il faut écrire : Si l’on ne s ‘était pas défendu, on aurait tout perdu. Le « c’ » est ici remplaçable par « me » ou « te » : on pourrait aussi bien dire « si je ne m’étais pas défendu » ou « si tu ne t’étais pas défendu ». Il faut donc écrire « s’était » et non « c’était ». Phrase correcte. Phrase correcte. Faux. Il faut écrire : Si c ‘était de son ressort, il changerait de stratégie commerciale. Remplaçons « s’était » par « cela était » : « Si cela était de son ressort, il changerait » La phrase est juste. Ce n’est donc pas « s’était » qu’il faut écrire, mais « c’était ». Faux. Il faut écrire : La réunion s ‘est déroulée sans incident. Si « c’ » est la bonne orthographe, on doit pouvoir le remplacer par « cela ». Or, « la réunion cela est déroulée sans incident » ne veut rien dire. On n’écrit donc pas « c’est », mais « s’est ». Faux. Il faut écrire : Grâce à cette méthode, son orthographe s ‘est améliorée. On peut dire « je me suis amélioré » ou « tu t’es amélioré », signe qu’il s’agit ici du pronom personnel « se » et non du démonstratif « ce ». Il faut donc écrire « s’est » et non « c’est ». Faux. Il faut écrire : Les manifestants se sont rassemblés devant l’hôtel Matignon. Si « ce » est la bonne orthographe, on doit pouvoir le remplacer par « cela ». Or, « les manifestants cela sont rassemblés devant l’hôtel Matignon » ne veut rien dire. On n’écrit donc pas « ce sont » mais « se sont ». Phrase correcte. Faux. Il faut écrire : On s ‘est promis de se revoir après les vacances. On peut dire correctement « je me suis promis de » ou « tu t’es promis de ». On n’écrit donc pas « c’est » mais « s’est ». Phrase correcte.
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Comment faire la différence entre ces Ses c’est S’est ?
S’est : Cette expression se forme de s’, la forme contractée de se, le pronom personnel réfléchi et de est, troisième personne du singulier du verbe être. Ses : c’est un adjectif possessif qui détermine un nom au pluriel. Ces : est un adjectif démonstratif qui détermine un nom au pluriel.
Quand utiliser Qu’est-ce que c’est ?
Quelle est l’orthographe de qu’est-ce que c’est ? – Qu’est-ce que c’est est une question qui sert à demander la nature de quelque chose. Cette question comporte deux fois le verbe être conjugué à la troisième personne du singulier, avec le sujet ce, La première fois, le verbe et son sujet sont inversés, est-ce (avec un trait d’union), et la deuxième fois ils sont dans l’ordre habituel : c’est,
Quelle est la différence entre c’est et ce sont ?
Quand et comment utiliser « c’est / ce sont » en français? « C’est » se place devant un nom masculin ou féminin singulier et « ce sont » précède un nom masculin ou féminin pluriel. Ils servent à identifier ou présenter une personne / un objet parmi d’autres personnes ou objets.
Est-ce que c’est en français ?
Grammaire française : orthographe, syntaxe, participe passé, accord du verbe, ponctuation, conjugaison. – Est-ce que est la tournure réservée à l’ interrogation directe, c’est-à-dire au cas où l’on pose directement une question sans la rapporter, sans la faire dépendre d’un autre verbe, d’un autre terme.
Est-ce que vous avez compris ? Est-ce que je ne perds pas mon temps ? Dans l’, c’est-à-dire lorsque la question est rapportée, lorsqu’elle dépend d’un verbe, est-ce que disparaît et est remplacé par si, Il ne sait pas si vous avez compris. Je me demande si je ne perds pas mon temps. – La langue soutenue préfère utiliser la construction avec inversion du sujet plutôt qu’avec la tournure est-ce que,
Avez-vous compris ? Mais, dans certains cas, l’inversion n’est pas possible, Est-ce que je ne perds pas mon temps ? (et non Ne perds-je pas mon temps ? ). Est-ce que ce sera tout ? (et non Sera-ce tout ? ). Lorsque la question porte sur le lieu, le temps, l’objet, etc.
Est-ce que est précédé de où, quand, qui, etc. Mais la formulation est plus lourde. Où est-ce qu’aura lieu votre réunion ? (ou mieux où aura lieu votre réunion ? ). Là aussi, est-ce que n’est jamais repris dans l’interrogation indirecte. Je ne sais pas où aura lieu la réunion (et non je ne sais pas où est-ce qu’aura lieu ).
Veillez à bien respecter la place du : il est entre le verbe est et le pronom sujet inversé ce, Est-ce que (et non est-ce-que ). : Grammaire française : orthographe, syntaxe, participe passé, accord du verbe, ponctuation, conjugaison.