Quels sont les liens avec mon programme d’études? – Découvre la pollinisation et autres formes de reproduction sexuée des plantes. De plus, savais-tu que les plantes peuvent aussi se reproduire de façon asexuée? Les plantes sont des organismes vivants.
Cela signifie qu’elles doivent se reproduire afin de transmettre leurs gènes aux générations futures. Les plantes peuvent créer des descendants par reproduction sexuée ou asexuée. La reproduction sexuée nécessite du matériel génétique (ADN) de deux parents. Les plantes parentales ont des cellules reproductrices mâles et femelles, que l’on appelle gamètes,
Le matériel génétique mâle et femelle des gamètes se rassemble pour la fécondation afin de produire la descendance. C’est ce qu’on appelle la fertilisation, Les graines produites par la fertilisation contiennent le matériel génétique des deux parents.
En conséquence, la descendance n’est pas génétiquement identique aux parents, mais leur ressemble souvent. Cette diversité génétique chez la descendance peut l’aider à survivre en cas de modification des conditions environnementales. Les plantes à fleurs ont une reproduction sexuée qui s’appelle la pollinisation,
Les fleurs ont des organes reproducteurs mâles appelés étamines et des organes reproducteurs femelles appelés pistils, L’ anthère est la partie de l’étamine qui contient du pollen. Ce pollen doit être déplacé vers une partie du pistil qui s’appelle le stigmate, Les parties d’une fleur (Parlons science avec une image de Clker-Free-Vector-Images via Pixabay ). Image – Version texte Ce schéma en couleur illustre les parties reproductrices d’une fleur. Une fleur entière est illustrée au centre de l’image. Deux zones de cette fleur sont agrandies dans des illustrations plus petites et distinctes, dans les coins inférieurs gauche et droit.
Le nom de certaines parties de la fleur est inscrit en caractères noirs et des lignes rouges plus ou moins longues relient chaque nom à la partie désignée. La fleur a des pétales orange, dont l’un est désigné du nom de « pétale ». Une longue structure verte allant vers le haut à partir du centre des pétales est désignée en gros caractères comme étant le « pistil ».
Les trois parties du pistil sont identifiées en caractères plus petits. La partie creuse en forme d’amande située à la base porte la mention « ovaire ». La structure verte, longue et fine qui se trouve au-dessus est désignée sous le nom de « style ». Le bout plus large et dentelé est appelé « stigmate ».
- De chaque côté du pistil, on voit des « bras » longs, fins et effilés, surmontés de formes ovales jaunes.
- L’une de ces parties jaunes a été encerclée en noir, et une flèche pointe vers l’illustration plus petite en bas à droite de l’image.
- Cette structure jaune est identifiée en gros caractères comme étant une « étamine ».
Trois parties de l’étamine sont identifiées en petits caractères. La structure externe jaune porte est appelée « anthère ». Une coupe dans le bas de l’anthère permet de voir de minuscules sphères orangées. Ces sphères sont appelées « grains de pollen ».
Le filament vert qui supporte l’anthère est appelé « filet ». L’ovaire est lui aussi encerclé, et une flèche le relie à une illustration plus petite, à gauche de l’image. Cette petite illustration montre un grossissement d’un ovaire coupé en deux. Le dessin montre que l’intérieur de l’ovaire est bordé de chaque côté du centre par de petites formes ovales.
Ces formes ovales portent la mention « ovules ». Enfin, l’une des deux structures vertes, fines et pointues situées sous la base de la fleur, au sommet de sa tige, est appelée “sépale”. Attention aux fausses idées! Les fleurs ne sont pas toutes grandes et de couleurs vives! Certaines plantes à fleurs, comme les graminées, ont des fleurs minuscules et peuvent même être vertes, ce qui peut les rendre difficiles à voir.
- Les plantes peuvent se reproduire par autopollinisation ou par pollinisation croisée.
- L’autopollinisation se produit lorsque le pollen d’une plante féconde ses propres ovules.
- La pollinisation croisée se produit lorsque le vent ou les animaux transportent le pollen d’une plante pour fertiliser les ovules d’une autre plante.
L’avantage de la pollinisation croisée est qu’elle favorise la diversité génétique. Certaines plantes possèdent des caractéristiques qui empêchent l’autopollinisation, comme le pollen et les ovules qui se développent à différents moments. Les pollinisateurs sont les animaux qui transportent le pollen entre les plantes.
De nombreux pollinisateurs sont des insectes, comme les abeilles, les papillons de jour et de nuit, et les coléoptères. Des oiseaux, comme les colibris, et même certains mammifères, comme les chauves-souris et les rongeurs, peuvent aussi transporter le pollen d’une plante à l’autre. Les pollinisateurs sont souvent attirés par les couleurs et le parfum des fleurs.
Le pollen se colle au corps du pollinisateur pendant qu’il se nourrit du nectar de la fleur. Bee covered in pollen (Source: USGS Bee Inventory and Monitoring Lab via Wikimedia Commons ). Image – Version texte La photo montre la tête, le dessus des ailes et le haut du torse d’une abeille. Presque tout son corps est recouvert de poils jaunes et noirs, épais et duveteux, couverts de grains de pollen jaune vif.
- Les yeux foncés et ronds situés de chaque côté de la tête et les deux longues antennes brunes sont les seules parties de l’abeille qui ne sont pas recouvertes de pollen.
- L’étape qui suit la pollinisation est la fécondation,
- Une fois qu’il atteint le pistil, le pollen doit fertiliser un œuf à l’intérieur du stigmate.
Cet œuf s’appelle l’ovule, La fertilisation produit des fruits qui contiennent des graines. Certains fruits sont charnus, comme les oranges et les pastèques (melons d’eau). D’autres sont secs, comme les glands ou les noix. Ces fruits représentent une nourriture attrayante pour divers animaux.
Après avoir digéré les fruits qu’ils ont mangés, les animaux expulsent les déchets de leur système digestif et les graines encore intactes peuvent prendre racine et pousser loin des plantes qui les ont produites!\ Attention aux fausses idées! Certaines plantes ne produisent pas de fleurs. Les plantes à fleurs sont un groupe de plantes qui s’appellent les angiospermes,
Il existe également des plantes non florifères. Il s’agit notamment des mousses, des fougères et des conifères. Dans le cas de la reproduction asexuée, l’ADN d’un seul parent est nécessaire. La descendance est génétiquement identique au parent. Les descendants génétiquement identiques sont appelés clones et sont plus sensibles aux maladies et aux changements environnementaux défavorables en raison de leur faible diversité génétique,
La reproduction asexuée peut se faire de différentes manières, notamment la multiplication végétative et la fragmentation. Il y a une multiplication végétative lorsque de nouvelles plantes se forment sans qu’il y ait production de graines ou de spores, Une nouvelle plante pousse à partir d’une partie de la plante mère.
Selon le type de plante, la multiplication végétative se produit de différentes manières. Voici quelques exemples.
L’ail, les oignons et les tulipes se reproduisent tous par de vrais bulbes, Ces tiges courtes souterraines sont également appelées caïeux, Ils possèdent un plateau qui est généralement entouré d’écailles modifiées. Ces écailles forment une écorce appelée tunique, De nouveaux bulbes poussent sur le plateau du bulbe principal. Les crocus se reproduisent à l’aide de cormes, qui sont similaires aux vrais bulbes. Cependant, une corme n’a pas autant de couches. Les cormes sont utilisées pendant la saison de croissance et sont remplacées par une ou plusieurs nouvelles cormes. Les plants de pommes de terre se reproduisent à l’aide de tubercules, Ces excroissances souterraines produisent de nouvelles plantes à partir de tiges ou de points de croissance appelés œilletons. Les plants de gingembre se reproduisent à l’aide de rhizomes, Ces tiges poussent latéralement le long du sol ou juste en dessous de la surface. Elles se ramifient pour produire de nouveaux points de croissance. Les fraisiers se reproduisent à l’aide de stolons, Ils ressemblent à des branches qui poussent sur le sol. Les stolons s’ancrent au sol et développent des racines qui se transforment en nouvelles plantes.
Attention aux fausse s idées ! Un tubercule n’est pas une racine, mais une tige modifiée qui pousse sous terre. Les cormes et les rhizomes sont d’autres exemples de tiges spécialisées. Dans le sens des aiguilles d’une montre, à partir du haut à gauche : Gingembre (rhizome), alliums, tulipes (bulbes) et crocus (cormes), pommes de terre et patates douces (tubercules) et herbe (stolons) (Sources: Judgefloro via Wikimedia Commons, karma_pema via iStockphoto, U.S.
Department of AgricultureLance Chueng/Visual Information Specialist/USDA via Wikimedia Commons and Macleay Grass Man via Wikimedia Commons ). Image – Version texte Les quatre photos en couleur montrent des plantes qui se reproduisent par moyens différents. Il y a deux photos en haut et deux photos en bas.
La photo du haut à gauche montre un panier de gingembre sur lequel un rectangle de carton blanc indique le prix. Les morceaux de gingembre sont beiges et de forme arrondie. La photo du haut à droite montre trois sortes de bulbes de fleurs sur une table en bois.
Une bande blanche portant un nom identifie chaque type de bulbe. En haut à gauche, le mot « allium » est devant de petits bulbes blancs arrondis. À droite, le mot « tulipe » est placé devant de gros bulbes dorés et pointus. En bas à gauche, le mot « crocus » est placé devant des bulbes dorés et trapus, qui sont des cormes de crocus.
Les cormes sont un type de bulbes. Dans la photo du bas à gauche, on voit deux petites touffes d’herbe tenues dans la main d’une personne. Les touffes d’herbe sont reliées entre elles par une racine longue et épaisse. Chaque touffe possède un réseau de fines racines enchevêtrées et recouvertes de terre.
La photo en bas à droite montre un étalage de pommes de terre et de patates douces dans un supermarché. Les pommes de terre sont à gauche de l’image. Elles ont plus ou moins la forme d’un œuf; leur pelure est or pâle avec des yeux brun foncé. À droite de l’image, les patates douces sont plus foncées, d’une teinte dorée tirant sur le rouge.
Plus effilées que les pommes de terre, les patates douces sont également plus pointues dans les bouts. Le savais-tu? L’ apomixie est une forme de reproduction asexuée pour certaines espèces de graminées. La plante mère produit des graines sans fertilisation.
- La fragmentation est une autre forme de reproduction asexuée.
- Elle se produit lorsque de petites parties d’une plante tombent sur le sol et que de nouvelles plantes commencent à pousser à partir de celles-ci.
- Les animaux ou le vent peuvent casser de petites tiges ou faire tomber les feuilles des plantes.
C’est l’une des façons dont les plantes comme les hépatiques et les mousses se reproduisent. Les horticulteurs sont des gens qui étudient les plantes. Ils utilisent souvent la reproduction asexuée par fragmentation pour faire pousser de nouvelles plantes. Nouvelles plantes qui poussent sur le bord d’une feuille (Source: Marshman via Wikimedia Commons ). Image – Version texte Photographie en couleur d’une grande feuille posée à plat sur le sol; des feuilles plus petites ont commencé à pousser près d’elle.
La grande feuille est épaisse et vert pâle. Elle forme un angle en diagonale sur la photo et repose sur un sol sombre et d’apparence humide. Elle est déchirée en deux et les bords de la déchirure sont secs et bruns. Deux petites touffes de feuilles beaucoup plus petites poussent à partir de deux endroits sur le bord de la grande feuille.
La touffe du haut se trouve près de l’endroit où la grosse feuille est déchirée, et l’autre est en bas de l’image, là où la grosse feuille touche la terre. Les nouvelles feuilles sont vertes avec des bordures et des nervures rose vif. Le savais-tu? Le coco de mer (Lodoicea maldivica) produit la plus grosse graine de toutes les plant es,
Quelles sont les conditions pour que la fleur se transforme en fruit ?
Les ovules du pistil doivent être fécondées par le pollen des étamines. Après cette fécondation, le pistil de la fleur se transforme en fruit et les ovules qu’il contient, en graines.
Quels sont les techniques de reproduction des plantes ?
Biologie végétale : fonctions de reproduction De façon générale, les plantes sont capables de se propager localement et tendent ainsi à envahir plus ou moins leur territoire. Elles peuvent aussi se disséminer à de grandes distances et peuvent ainsi coloniser de nouveaux territoires.
Le plus souvent, la propagation se fait par multiplication végétative, c’est-à-dire par reproduction asexuée, tandis que la dissémination se fait par l’intermédiaire d’organes spécialisés, spores, graines ou fruits, résultant de la reproduction sexuée et qualifiés globalement de semences. Le transport des semences sur de grandes distances est assuré par les vents, les eaux ou des animaux.
La reproduction sexuée, c’est-à-dire la formation d’un nouvel individu à partir d’un œuf issu de la fusion de cellules reproductrices femelles et mâles, existe chez toutes les plantes. Ces dernières sont d’ailleurs qualifiées d’embryophytes (embryo = embryon ; -phyte = plante) pour traduire le fait que toute nouvelle plante issue de la reproduction sexuée résulte du développement d’un embryon.
- Toutefois, les modalités de la reproduction sexuée sont différentes chez les différents groupes de plantes, ce qui reflète l’histoire évolutive de ces êtres vivants.
- On ne considère ici que la reproduction sexuée des plantes à fleur.
- Les plantes à fleur, ou spermatophytes (spermato = semence, graine ; -phyte = plante), sont caractérisées, comme leur nom l’indique, par la formation de graines à l’issue de la reproduction sexuée.
Contrairement aux mousses et aux fougères, la dissémination de ces plantes ne se fait pas par des spores mais par les graines. La graine n’existe dans aucun autre groupe végétal et son « invention » a constitué une innovation évolutive majeure, à mettre en relation avec le succès de ces plantes au cours des temps géologiques.
- Les spermatophytes regroupent l’ensemble des arbres, arbustes et plantes herbacées à fleur.
- On les divise en gymnospermes et angiospermes.
- Les gymnospermes (gymno = nu ; sperme = semence, graine) sont des plantes ligneuses vivaces (arbres, arbustes et lianes) caractérisées par des graines nues, c’est-à-dire non incluses dans un fruit.
Les angiospermes (angio = capsule ; sperme = semence, graine) sont les plantes à fleur proprement dites et sont caractérisées par leurs ovules enclos dans un organe spécialisé appelé carpelle. L’ensemble des carpelles est appelé ovaire. À la suite de la fécondation, les ovules se transforment en graines et sont enfermées dans un fruit résultant de la transformation de l’ovaire.
Chez les gymnospermes, comme par exemple les conifères, les organes reproducteurs sont des « fleurs » simples, appelées cônes. Les cônes femelles, de petite taille, sont constitués d’un axe portant des écailles auxquelles sont fixés deux ovules nus, c’est-à-dire qui ne sont pas inclus dans un carpelle, contrairement à ceux des angiospermes.
Les cônes mâles présentent une organisation similaire avec un axe portant des écailles. Chaque écaille comporte deux sacs polliniques dans lesquels se forme le pollen et correspondent donc aux étamines des fleurs d’angiospermes. À maturité, le pollen s’échappe des sacs polliniques et la présence d’une paire de ballonnets sur chaque grain de pollen facilite son transport par le vent. Cônes mâles et femelles (Chamaecyparis ou faux cyprès)
Quelles sont les cellules reproductrices de la fleur ?
Une membrane clé qui révèle ses secrets dont la présence d’une protéine « pas comme papa » – Grâce à l’utilisation de technique de microscopie et d’outils de biologie moléculaire et cellulaire, des signes distinctifs de cette membrane ont été mis en évidence.
- Le premier signe distinctif de cette membrane est un enrichissement en un lipide particulier chargé négativement.
- Sa deuxième caractéristique est la présence de la protéine NOT-LIKE-DAD (“pas comme papa” en français) qui porte une charge positive et des ancres lipidiques lui permettant de s’accrocher exclusivement à cette membrane atypique.
Les scientifiques ont également montré que cette membrane entourant les deux spermatozoïdes joue un rôle clé pour le bon déroulement de la double fécondation, afin d’amener les deux cellules reproductrices au bon endroit et au bon moment.
Quels sont les mécanismes qui favorisent la reproduction sexuée ?
De nombreux mécanismes permettent de favoriser la reproduction sexuée comme : – Le rapprochement des deux partenaires. Les individus peuvent être attirés l’un vers l’autre grâce à l’émission de molécules (bombyx) ou par leur comportement (parade nuptiale chez le paon). – Le rapprochement des cellules reproductrices.
Quelles sont les conditions nécessaires à la germination des graines ?
Pour germer, les graines ont besoin d’eau et d’une température favorable. Pour bien se développer, les plantes ont besoin de lumière, d’eau, d’une température favorable et d’un support tel que le terreau.
Quels sont les moyens utilisés pour la pollinisation ?
Ce transport peut se faire de différentes façons : par le vent, l’eau ou les animaux. L’entomogamie, ou pollinisation par les insectes, concerne 90 % des espèces de plantes à fleurs dans le monde (Chiffre issu du rapport IPBES sur la pollinisation).
Quelle est la pollinisation ?
Les insectes pollinisateurs nous en mettent plein la vue – Connaissez-vous le point commun entre le cacaotier et la tomate, le cerisier et la courge, le caféier et le pommier ? Leurs précieux fruits et légumes ne tiennent qu’à la fascinante rencontre entre leurs fleurs et des insectes. Partons à la rencontre de ces pollinisateurs ! Une multitude de grains de pollen sont collés au corps de ce bourdon terrestre (Bombus terrestris) butinant un chardon bleu (Echinops ritro), Beaucoup d’indifférence, un soupçon de crainte et du dégoût. C’est ce que les insectes nous inspirent trop souvent. Il y a bien quelques exceptions, comme les papillons colorés qui déroulent leurs trompes au cœur des fleurs. Mais globalement, les insectes sont peu appréciés alors qu’ils sont indispensables au bon fonctionnement des écosystèmes et à notre bien-être. Laissons de côté nos préjugés et découvrons des insectes dont le labeur quotidien nous apporte beaucoup. Par une belle journée ensoleillée, n’avez-vous jamais contemplé le ballet incessant d’insectes volant de fleur en fleur ? Ils papillonnent, ils bourdonnent, ils s’activent Mais que font-ils ? Attirés par la forme, la couleur, l’odeur des fleurs, ces insectes sont à la recherche de nourriture, pour eux ou pour leur progéniture : ils viennent prélever le nectar ou le pollen. En volant de fleur en fleur, ces insectes nous rendent gracieusement un service vital. Ils transportent involontairement le pollen d’une fleur jusqu’à une autre fleur et assurent ainsi la pollinisation de nombreux végétaux. Lorsqu’un grain de pollen est déposé sur le pistil d’une fleur de la même espèce, cela permet la fécondation d’un ovule puis la formation d’un fruit contenant des graines. Le bilan ? Tomates, cerises, courges, café, pommes, mais aussi carottes et oignons, autrement dit de quoi remplir nos assiettes.35 % de ce que nous mangeons dépend de la pollinisation par les insectes Près de 90 % des plantes à fleurs (ou angiospermes) dans le monde dépendent, au moins en partie, de la pollinisation par les insectes. Dans l’agriculture, cela concerne la production de fruits et la production de graines. Au total, environ 35 % de ce que nous mangeons est lié à l’action de ces insectes, y compris des denrées coûteuses comme le cacao, le café et des épices ! Dans le même temps, certaines activités humaines, en particulier l’utilisation excessive de pesticides et la dégradation des milieux naturels, sont responsables d’un déclin de l’abondance et de la diversité des insectes pollinisateurs. À ces causes s’ajoute le réchauffement climatique qui contribue à modifier les conditions de vie des espèces. Par exemple, une floraison plus précoce peut ôter de précieuses ressources alimentaires à des populations d’insectes pollinisateurs qui s’affaiblissent, voire disparaissent. C’est un engrenage puisque la majorité des plantes à fleurs dépendent des insectes pollinisateurs pour leur reproduction : ce qui affecte les pollinisateurs affecte les plantes à fleurs et inversement. Nos productions agricoles en pâtissent également. Pour les protéger, il faut mieux les connaître. Qui sont ces insectes qui nous rendent gracieusement un service si précieux ? Comment peut-on agir en leur faveur ? « Environ 250 000 espèces de plantes à fleurs dans le monde. » La pollinisation est le mode de reproduction sexuée des végétaux. La fleur est une structure complexe, dans laquelle les organes reproducteurs mâles ( >> les étamines ) et femelles ( >> le pistil ) sont regroupés et entourés de pièces enveloppantes ( >> calice et corolle ). Pétales, étamines et pistil d’une fleur de géranium sanguin ( Geranium sanguineum ).
C’est quoi la reproduction des plantes ?
Une abeille sur une fleur La reproduction des végétaux est le moyen pour les plantes de se développer et pour les arbres de faire des fruits, Dans un sens plus large, c’est l’ensemble des moyens qu’ont les plantes pour produire de nouvelles plantes. Chez les plantes à fleurs (ou angiospermes), la fleur possède des parties mâle et femelle,
La fécondation se fait d’une plante à l’autre. Il est indispensable d’avoir 2 fleurs de 2 plantes individuellement différentes (mais appartenant bien sûr à la même espèce) pour que se rencontrent les pollens et les ovules, Ce sont les insectes pollinisateurs qui assurent le rôle de la rencontre car les fleurs ne se déplacent pas ! Ces insectes nombreux sont par exemple l’ abeille ou les papillons,
Puis les graines permettent la dissémination, La reproduction des algues, des conifères, des fougères ou des mousses est un peu différente.
Quelle est la technique de reproduction ?
Les méthodes de reproduction sont : la conduite des accouplements en race pure ; les croisements (de première génération, de 2 e génération) ; le métissage.
Quel est le principe de la photosynthèse ?
1. Principe – La photosynthèse, qui signifie littéralement « synthèse par la lumière », correspond au piégeage de l’ énergie lumineuse provenant du Soleil, et de son stockage sous la forme de matière organique (des glucides notamment). Ce faisant, les végétaux et les bactéries photosynthétiques produisent leurs propres composants à partir de l’énergie solaire (on dits qu’ils sont autotrophes ). Principe de la photosynthèse La photosynthèse des végétaux et des cyanobactéries consomme de l’ eau (H 2 O), du dioxyde de carbone (CO 2 ) et produit de l’ oxygène (O 2 ) – des expériences de marquage radioactif ont montré que cet oxygène provient de l’eau, et non du CO 2 absorbé. Structure d’une feuille L’énergie nécessaire à la photosynthèse est fournie par le rayonnement du Soleil, La lumière est donc un facteur décisif dans le processus (c’est pourquoi, par exemple, une plante d’appartement placée dans une pièce sombre dépérit rapidement).
Quel est le rôle de chaque organes reproducteurs de la plante à fleurs ?
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre. Abeille en train de butiner. La fleur représente l’ organe de reproduction chez les plantes à fruits ( Angiospermes ). Les étamines produisent les grains de pollen qui contiennent les cellules reproductrices mâles, tandis que le pistil abrite l’ ovule, La fécondation est généralement croisée, c’est-à-dire que dans la plupart des cas, une plante ne peut pas s’auto-féconder.
Quel est le rôle du tube pollinique ?
La mécanique du sexe chez les plantes à fleurs Résultats scientifiques Biologie végétale Comment les gamètes mâles qui sont renfermés dans les grains de pollen arrivent-ils à bon port pour fusionner avec les gamètes femelles contenus dans le pistil et assurer ainsi la fécondation chez les plantes à fleurs ? Lors du tout premier contact qui s’établit entre pollen et pistil, le pollen émet un tube qui assure le transfert des gamètes mâles vers les gamètes femelles.
En combinant des approches d’imagerie du vivant, de microscopie de force atomique, de génétique et des analyses chimiques, un article publié dans la revue eLife décrit le rôle joué par une enzyme, la KATANINE, dans l’orientation des tubes polliniques en contrôlant les propriétés mécaniques du pistil.
Chez les plantes à fleurs, la production de graines résulte de la fécondation entre les gamètes mâles renfermés dans le grain de pollen et les gamètes femelles contenus dans les ovules eux-mêmes enfouis au sein du pistil. Le succès de la reproduction dépend d’une interaction initiale entre le grain de pollen et la surface du pistil composée d’une couche de cellules allongées appelées papilles stigmatiques.
Au contact d’une papille stigmatique, le pollen se réhydrate et émet un tube pollinique qui transportera les gamètes mâles jusqu’aux ovules. Si des peptides (chimio-attractants) ont été identifiés dans le pistil comme assurant le guidage des tubes polliniques vers l’ovule, la manière dont le tube s’oriente correctement à la surface d’une papille pour prendre la direction des ovules reste inconnu.
En effet, quelle que soit la position du pistil sur des fleurs en position verticale, inclinée ou inversée, le tube trouve la bonne direction indépendamment de la force de gravité. La plupart des cellules végétales sont entourées d’une paroi cellulaire rigide composée de polymères de sucres qui forment des microfibrilles.
- En plus de cette paroi externe, les cellules possèdent des filaments internes constitués d’une protéine, la tubuline, qui forment le cytosquelette de microtubules.
- En pénétrant dans la paroi des papilles stigmatiques, le tube génère des forces de pression dans la papille suggérant que les propriétés mécaniques de la paroi de la papille pourraient avoir un rôle dans les toutes premières étapes de croissance et d’orientation du tube.
Les scientifiques montrent que l’organisation du cytosquelette de microtubules et des microfibrilles confert des propriétés mécaniques particulières à la paroi des papilles qui ont un impact majeur sur la croissance et la direction des tubes polliniques.
- Ces propriétés mécaniques dépendent de l’action d’une enzyme qui coupe les microtubules, la KATANINE, qui est conservée chez de nombreux eucaryotes et présente chez l’humain.
- Chez un mutant d’ Arabidopsis thaliana (l’arabette des dames) dépourvu de KATANINE, les propriétés mécaniques de la paroi des papilles sont fortement altérées ; les tubes polliniques ont une croissance accélérée et s’orientent de manière désordonnée, allant même parfois au sommet de la papille au lieu de se diriger vers leur base pour progresser en direction des ovules.
Ces travaux révèlent un rôle inattendu de la KATANINE dans le guidage des tubes polliniques en contrôlant les propriétés mécaniques de la paroi des papilles stigmatiques. En faisant prendre la bonne direction aux tubes polliniques dès leurs premiers pas dans la papille, la KATANINE a probablement joué un rôle majeur dans le succès évolutif des plantes à fleurs en garantissant leur fécondation. © Lucie Riglet Figure : Croissance folle et incontrôlée des tubes polliniques sauvages (Col-0) sur les papilles stigmatiques d’un mutant d’Arabidopsis thaliana (l’arabette des dames) dépourvu de KATANINE (ktn1-5). Image microscopie électronique à balayage ; Barre = 50 microm.
Qu’est-ce qui produit le pollen dans une fleur ?
Les grains de pollen viennent des organes mâles de la fleur (les étamines). Ils contiennent les gamètes (2 par grain) qui sont les cellules reproductrices de la fleur.
Quels sont les facteurs qui influencent la reproduction ?
La disponibilité en nourriture. La présence de prédateurs. Les conditions météorologiques et climatiques.
Quelles sont les deux conditions nécessaires à la reproduction ?
La reproduction chez les êtres vivants peut être sexuée ou asexuée. La reproduction sexuée est la formation d’un nouvel être vivant à partir d’une cellule reproductrice mâle et d’une cellule reproductrice femelle. En revanche, la reproduction asexuée consiste en une reproduction sans fécondation par un seul être vivant.
Comment se reproduisent les plantes à fleurs cm1 ?
Le B.O du 01/2012 : Le fonctionnement du vivant: Les modes de reproduction des êtres vivants. – Distinguer les formes de reproduction végétale sexuée et asexuée. Pour la forme asexuée, identifier les organes responsables (tige, feuille, racine) et découvrir quelques techniques (marcottage, bouturage).
- Vocabulaire : reproduction sexuée, reproduction asexuée, la pollinisation bouturage, marcottage,
- Connaissances scientifiques : Reproduction sexuée La reproduction sexuée permet de donner naissance à un nouvel être vivant grâce à la rencontre d’un organisme mâle et d’un organisme femelle (c’est la fécondation).
C’est le cas des plantes à fleurs : les étamines (parties mâles de la fleur) fabriquent du pollen qui viendra féconder un ovule présent dans le pistil (partie femelle de la fleur). Parfois, le pistil et les étamines sont présents sur la même fleur (ex : la tomate) ; d’autres plantes ont des fleurs qui n’ont que le pistil ou l’étamine (ex : le potiron).
- La pollinisation est le transport du pollen jusqu’au pistil par le vent ou des insectes (ex : l’abeille).
- La fécondation est la rencontre entre le pollen (mâle) et l’ovule (femelle).
- Grâce à cette fécondation, le pistil se transformera en fruit et l’ovule donnera la graine.
- Situation problème : Analyser un film sur la pollinisation des fleurs.
Vidéo: Les fondamentaux, Réseau :La reproduction sexuée Compétences visées: L’élève est capable de : – pratiquer une démarche d’investigation : savoir observer, questionner ; – manipuler et expérimenter, formuler une hypothèse et la tester, argumenter ; – mettre à l’essai plusieurs pistes de solutions ; – exprimer et exploiter les résultats d’une mesure ou d’une recherche en utilisant un vocabulaire scientifique à l’écrit et à l’oral ; -Restituer les informations importantes du film.
Écrire un résumé expliquant le phénomène de pollinisation: les étamines produisent du pollen qui est transporté sur le pistil d’une autre fleur par les insectes ou par le vent. Il y a pollinisation. -Compléter un schéma de fleur avec le vocabulaire appris. Notions/ questions formulées par les élèves : -Les étamines permettent de fabriquer le pollen.
-C’est le pollen qui permet aux fleurs de se reproduire. -Comment le pollen arrive-t-il aux autres fleurs? Déroulement de la séance: – Prise de représentation des élèves sur la reproduction des végétaux: Émission des connaissances élèves et hypothèses.
- Vérification de la compréhension du vocabulaire utilisé ( végétaux, reproduction.) -Visionnage de la vidéo au vidéoprojecteur dans la classe ou en salle vidéo.
- Reprise des hypothèses de départ et validation de celles-ci, préciser les explications des élèves, utiliser les vocabulaire adéquat.
- A l’oral, en collectif, écrire un résumé.
Transcription de ce résumé par l’enseignant au tableau. -Trace écrire dans le cahier de sciences de l’élève: La reproduction sexuée: Pour se reproduire, la plupart des plantes à fleurs font des fruits qui ont des graines, pour cela dans la plupart des cas, la fleur est dotée d’un organe femelle, le pistil, et d’un organe mâle, l’étamine.
Cette étamine produit du pollen, une poudre composée de petits grains jaunes. Si un grain de pollen rencontre un pistil et féconde l’ovule qu’il héberge, une graine naîtra. Souvent le vent suffit à provoquer cette rencontre, comme pour la tomate. Mais parfois, les fleurs sont de deux types: soit mâles avec du pollen, soit femelles avec un pistil ( c’est le cas du potiron).
Il faut donc un intermédiaire pour que la rencontre ait lieu: une abeille voyageuse par exemple. L’abeille collecte le pollen d’une fleur mâle et en emporte sur son dos pour nourrir sa ruche. Elle butine ensuite une autre fleur, une fleur femelle avec un pistil.
Comment la reproduction asexuée ?
– Monsieur le jardinier, vos bégonias et vos tulipes sont magnifiques. Je veux les mêmes dans mon jardin. Mais je n’ai pas de graines. – Merci, Julie, mais tu n’as pas besoin de graines. On n’a pas besoin de toi non plus, petite abeille. La pollinisation, c’est pour la reproduction sexuée.
Pour reproduire des bégonias. Mais montre-lui plutôt, Grégoire. – Mais arrête, Grégoire, je ne veux pas que tu les coupes. – Ne t’inquiète pas Julie, Grégoire coupe un seul rameau pour le placer dans un verre d’eau. – Pour la tulipe, Grégoire va faire autrement. N’aie pas peur, Julie. Regarde bien. – C’est ce qu’on appelle un bulbe, non ? – Oui, et si tu le plantes dans ton jardin, tu auras une tulipe exactement identique à celle-ci l’an prochain.
– Alors, la tulipe peut se reproduire toute seule à partir d’un bulbe ? – Il n’y a pas que les plantes à bulbe qui peuvent le faire. Il y a aussi les plantes à tubercule. Tu trouvais mes pommes de terre magnifiques. Ce sont en fait des tubercules, qu’on trouve sous terre.
- Ah, on les ramasse pour les manger et on en replante une pour en avoir de nouvelles.
- Tu as déjà vu germer une pomme de terre ? Il faut plusieurs semaines.
- Et pour les fraises, comment ça se passe ? – C’est un peu différent.
- Tu vois, ces rameaux tout frêles ? Si tu plantes cette partie dans un pot, des racines vont naître, et une nouvelle plante va pousser, que tu pourras planter.
C’est le marcottage. – À moi les belles fraises ! Mais. Et notre bégonia ? Il s’en est passé, du temps. – Eh oui. Lui aussi a développé des racines. C’est le bouturage. Tu vas pouvoir planter cette bouture dans ton jardin. – Donc il existe des plantes qui peuvent se reproduire sans graine, par bouturage, par marcottage ou en produisant des nouveaux bulbes ou des nouveaux tubercules.
Quel est le lieu de la fécondation ?
Lorsque les ovules deviennent matures, ils sont libérés de l’ovaire dans les trompes de Fallope. Les trompes de Fallope sont l’endroit où la fécondation aura lieu si un spermatozoïde est capable de circuler à travers le système reproducteur féminin et de fusionner avec un ovule mature.
Quel est le rôle du mâle et de la femelle dans la reproduction ?
Le rôle des deux sexes dans la reproduction humaine Décrire comment les êtres vivants se développent et deviennent aptes à se reproduire.
La reproduction humaine nécessite la présence de 2 personnes de 2 sexes différents (mâle et femelle) pour avoir lieu. Les deux sexes jouent alors un rôle important. Le mâle produit les spermatozoïdes et la femelle produit les ovules. Quand un spermatozoïde féconde un ovule, il y a alors apparition d’une nouvelle vie.
1. La reproduction sexuée La reproduction humaine nécessite l’intervention de deux personnes de sexes différents : mâle (homme) et femelle (femme). On parle alors de reproduction sexuée. Ces deux sexes (masculin et féminin) jouent un rôle important car ils fournissent les cellules nécessaires à la reproduction : les spermatozoïdes (cellules mâles) et les ovules (cellules femelles).2. Vue de profil de l’appareil génital masculin b. L’appareil génital féminin À partir de la période de la puberté, les ovules des femmes se développent à l’intérieur des ovaires (deux glandes où sont stockées les cellules sexuelles qui ne sont pas encore matures). Ils sont produits à raison d’un ovule par cycle d’environ 28 jours.
Vue de profil de l’appareil génital féminin On appelle fécondation la fusion d’un ovule avec un spermatozoïde. C’est lors d’un rapport sexuel entre un homme et une femme que peut avoir lieu la fécondation. Il faut, pour cela qu’un spermatozoïde de l’homme pénètre dans un ovule de la femme.
Spermatozoïdes essayant de pénétrer un ovule (Vue au microscope) Quand un ovule est fécondé (cellule-œuf), il s’installe alors dans l’utérus pour s’y développer. Il forme alors un embryon, puis un fœtus pendant la période de 9 mois qu’on appelle « la grossesse ». Sciences, Technologie Sciences, Technologie Sciences, Technologie : Le rôle des deux sexes dans la reproduction humaine
Comment se déroule la reproduction sexuée ?
I) La reproduction sexuée fait intervenir un gamète femelle et un gamète mâle. – La reproduction sexuée animale comme végétale comporte l’union d’une cellule reproductrice mâle et d’une cellule reproductrice femelle, on les nomme gamète mâle et gamète femelle, c’est la fécondation.
Comment se réalise la reproduction sexuée ?
Deux formes de reproduction – La reproduction sexuée est assurée par la fécondation, c’est-à-dire par fusion des gamètes mâle et femelle donnant un œuf (ou zygote ),,,, Cette reproduction non à l’identique permet le maintien d’une diversité génétique au sein des populations, car elle assure le brassage génétique,
La reproduction asexuée, (appelée aussi multiplication asexuée ou reproduction végétative ) désigne tous les autres moyens de multiplication où n’interviennent ni gamètes ni fécondation. Dans ce cas, seule la mitose assure la transmission de l’information génétique aux nouvelles cellules : c’est un processus de clonage naturel.
Les descendants résultant de cette reproduction ne sont toutefois pas identiques à leur géniteur, car des mutations peuvent être transmises par les cellules reproductrices d’une génération à l’autre et s’accumulent au cours du temps, ce qui permet également une grande variabilité,,
Comment se déroule la reproduction sexuée chez les plantes sans fleurs ?
Types de plantes – Il existe plus de 300 000 espèces de plantes, que l’on peut généralement classer en deux grandes catégories: Les plantes à fleurs:
De sexe féminin (gymnospermes)De sexe masculin (angiospermes)
Les plantes sans fleurs:
Les bryophytes (mousses)Les ptéridophytes (fougères)
Les plantes sans fleurs ont un mode de reproduction singulier. Comme elles n’ont pas d’organes reproducteurs, elles ne peuvent pas produire de fruits ou de graines et se multiplient donc par les spores. Celles-ci sont capables de créer de nouvelles plantes grâce à la division cellulaire.
- Les spores se trouvent à l’arrière des feuilles et, une fois arrivées à maturité, elles tombent par terre.
- Si les conditions sont favorables, une nouvelle plante ayant les mêmes caractéristiques génétiques que la plante mère germera.
- Parmi les plantes sans fleurs, on peut citer les fougères, qui, grâce à leur éclat et à leur capacité d’adaptation, sont devenues l’une des espèces les plus populaires pour la décoration des espaces intérieurs.
Leur exubérance, leur beauté et leur résistance sont parfaites pour créer des ambiances détendues, fraîches et naturelles.
C’est quoi la reproduction des plantes ?
Une abeille sur une fleur La reproduction des végétaux est le moyen pour les plantes de se développer et pour les arbres de faire des fruits, Dans un sens plus large, c’est l’ensemble des moyens qu’ont les plantes pour produire de nouvelles plantes. Chez les plantes à fleurs (ou angiospermes), la fleur possède des parties mâle et femelle,
La fécondation se fait d’une plante à l’autre. Il est indispensable d’avoir 2 fleurs de 2 plantes individuellement différentes (mais appartenant bien sûr à la même espèce) pour que se rencontrent les pollens et les ovules, Ce sont les insectes pollinisateurs qui assurent le rôle de la rencontre car les fleurs ne se déplacent pas ! Ces insectes nombreux sont par exemple l’ abeille ou les papillons,
Puis les graines permettent la dissémination, La reproduction des algues, des conifères, des fougères ou des mousses est un peu différente.